Stage club

Compte rendu :

Mardi 17 avril :

Malgré tous nos déboires (plus de logement le lundi 9 avril, un minibus en moins vendredi dernier, 3 places manquantes ce matin (le siège arrière n'a pas été remis en place!!!).

Petit jeu proposé : 3 volontaires pour rester là ? Personne n'a voulu :).

Nicole nous fait un peu des siennes. Sous prétexte d'avoir oublié son permis, elle retourne chez elle faire un petit calin à son amoureux. Dur dur la séparation !

Pour de pas perdre les bonnes habitudes, nous avons eu droit au tours de rond point, aux faux indices ...

Nous arrivons enfin à notre hébergement à 13 h 00 sous un magnifique soleil 26°. Bon Julien avec ses perches voulait embrocher un camion, il n'a pas réussi.

Vite vite le programme est chargé, il ne reste qu'une heure pour manger.

14h10 nous arrivons sur le stade. Nous attend un entraineur local, qui prendra en charge le groupe de lanceurs de marteaux et disque une bonne partie de l'après midi.

Tout l'après midi fut consacré aux entrainements : 1/2 fond, javelot, perche, hauteur, ...

18h15 arrivée au poney club, répartition des chambres, des groupes pour repas, vaisselle.

20h 00 après une bonne douche, la faim commence à se faire ressentir.

Nicole essaie de vendre sa soupe aux potirons aux jeunes avec un peu de succès, tout de même.

Seuls petits désagréments :

• Romane est malade
• Tristan qui a cassé son panneau "riez maintenant". Tout le public ne peut suivre les blagues du coach qui s'est gavé de carembar dans la voiture pour renouveler son répertoire !

Mercredi 18 avril

Après une bonne nuit réparatrice pour tous, les athlètes et entraîneurs sont prêts à 9h15. Tous ? non un seul résiste ! Un coach est sorti sauvagement du lit par une armée de jeunes incompréhensifs !

9h30 après un bon café tout le monde est sur le stade pour une petite séance de relais. Travail effectué sous les yeux des coachs experts. Après ce travail sans mouvements, nous passons à la pratique par 2. Est-ce pour gagner quelques centimètres qu'Emma se prend pour un gardien ? Elle plonge pour donner le témoin à sa partenaire ! mauvaise idée. Le genou sera un peu bleu.

2 nouvelles rotations avec au programme, haies basses, haies hautes, hauteur, longueur, javelot, sprint avant un repos mérité à l'ombre.

Le soleil commence à taper dur. Eloïse, toujours fatiguée par sa séance de VMA de la veille n'a toujours pas changé de couleur !

13 h 00 salade de riz, tomates, thon puis dessert.

14 h 00 et le moment attendu par tous va pouvoir débuter. Non ce n'est pas une heure raisonnable pour la boum, ni pour aller chercher notre DJ Fab, mais le début de l'explication du pif pif athlon.

6 équipes de 6 sont alignées par tirage au sort sur un décathlon (dont 4 jeunes villeneuvois). Après avoir participé sur 100 mètres, longueur, poids et hauteur où de nombreux records ont été battus pulvérisés, les athlètes se présentent sur un 110 mètres haies et le 400 mètres.

Après ces quelques épreuves les équipes 2 et 4 sont en tête et commencent à chercher les récompenses. Mais comme le dit une célèbre fable rien ne sert courir il faut partir à point.

En l'occurence les équipes 1 et 3 s'arrachent sur les épreuves du javelot, du disque et de la perche.

L'équipe 5 s'est battue jusqu'au bout pour obtenir la 3ème place.

Après avoir largement débordé sur le timing, certaines écrevisses sont rentrées se changer pour un programme très copieux pour la soirée.

Quelques messages (pas que subliminaux) envoyés par des jeunes filles laissent craindre une soirée des plus agitées. Un nommé Coco attire des convoitises...

23h00 Après avoir consommé une salade de riz, thon, tomate (pas la même que midi les tomates sont après le thon si vous avez bien lus !!!) quelques produits locaux (des fraises) et quelques pâtes, DJ Fab lance la soirée.

La nuit va être longue et l'entraînement de jeudi probablement aménagé.

Minuit et petite soirée anniversaire pour 2 béliers : Valérie et Audrey.

C'est une nuit de folie....

Jeudi 19 avril

Après une courte mais intense nuit de sommeil (enfin pas pour certains, d’autres ayant bien mieux dormi s’étant installés avec force dans leur environnement auditif), les athlètes et encadrants se réveillent et viennent prendre le petit déjeuner préparé par les infatigables Nicole et Valérie.

Puis c’est le retour au stade pour le dernier entraînement du stage. De la perche et des lancers sont prévus, mais les plus courageux partent tout de même découvrir les environs en faisant leur séance de demi-fond (mais ils ne sont pas nombreux).

Un pique-nique est organisé au gîte (même s’il ne correspond pas tout à fait à la définition d’un pique-nique, puisque celui-ci doit être pris lors d’une promenade), et les quiches sont sorties. Vous auriez vu les morceaux ! Au moins sept livres chacune et délicieuses, en plus. Un dernier au-revoir est fait aux baby-foots si durement éprouvés.

Puis tout le monde reprend la route vers le laser game pour une bataille sans merci. Six équipes sont dégagées et les affrontements peuvent commencer. C’est parti pour de la sueur et des lumières rouges, pour de la stratégie et du courage, pour des victoires éclatantes comme pour des matchs acharnés, se jouant dans les dernières minutes. Les rencontres se font plutôt brutalement, entre Julien et Mattéo dont le nez se souviendra, et entre Tristan et… un mur ? (de sa part : « Il a été un peu froid avec moi, et a repoussé toutes mes avances. »). Finalement, tout est bien qui finit bien, et l’amusement est général.

Mais vient le moment redouté de rentrer à la maison, et le retour en minibus se déroule de la meilleure des manières, notamment grâce aux engins rutilants prêtés par l’IMPRO. D’éternelles questions ponctuent le trajet : « C’est quand qu’on arrive ? » ou encore « J’ai faim » (en revanche, celle-là n’est pas une question, mais elle relève d’un sentiment tout à fait réel).
Enfin, il est important de remercier les coaches Sandra, Emilie et Stéphane, qui ont fait en sorte que ce stage soit le meilleur possible.

Il est d’ailleurs devenu une institution au fil des années dans notre club, et la motivation toujours plus importante des jeunes permet à des projets de plus en plus ambitieux de voir le jour. C’est pourquoi je vous dis « A l’année prochaine ! » avec plaisir.

Tristan

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